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Divulgation Cosmique n°11-13 : Détention & Interrogatoire des E.T. !

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Divulgation Cosmique - Saison 11, Épisode 13 : Aperçu de nos relations avec les autres Civilisations Extra-Terrestres !



 

David Wilcock : Bienvenue Dans Divulgation Cosmique. Je suis David Wilcock, ici avec moi, Emey Smith et Corey Goode.
Dans cet épisode on abordera la question des centres de détention pour extraterrestres.
Emery, bienvenue.

Emery Smith : Merci, enchanté d’être là.
David Wilcock : Et Corey, merci d’être là.
Corey Goode : Merci
David Wilcock : On a parlé dans le passé du programme pour intercepter et interroger les E.T., où vous avez participé, Corey. Donc pour ceux qui ne savaient pas, pourriez-vous brièvement nous le résumer ? 



 

Corey Goode : Oui c’est un programme semblable en partie, à "Men in Black". Le principe de ce programme est si un intrus entre dans notre système, ne donne pas de signaux, amis ou ennemis, et s’il est intercepté, il est sorti de son vaisseau. Ou, ce qui arrive dans la plupart des cas, c’est que des aliens sont arrivés sur terre et sont secrètement ici, se fondant dans la masse comme l’un de nous.
Et, ce groupe va donc extraire les gens qui sont ici… On appelle les aliens, des gens… les gens ici sans autorisation, pour les emmener sur une station en particulier, et les interrogatoires commencent pour savoir ce qui se passe.
Ce groupe opérait aussi comme une force de police pour les groupes non-terrestres qui sont ici, avec une autorisation. Il aide à les maintenir séparés. En cas de problème, il servait de police.
David Wilcock : Le programme auquel vous participiez s’appelle Solar Warden (Gardiens Solaires), un gardien comme ceux des prisons ou des maisons d’arrêt. Y a t-il un lien avec ce nom ?
Corey Goode : Oui, le Gardien Solaire devait maintenir l’ordre dans notre système solaire. C’était sa mission principale. Ils avaient aussi un programme pour établir des bases sur les étoiles les plus proches, dans notre amas stellaire local. Mais oui, c’était… C’était sa mission.

David Wilcock : Emery, vous soutenez avoir autopsié plus de 3000 systèmes biologiques différents.
Emery Smith : Exact, des spécimens ! 



 

David Wilcock : En avez-vous vu qui ressemblaient à des humains, pour être ici sur terre, dans ce programme ?
Emery Smith : Ils nous ressemblaient, ils sentaient comme nous, ils marchaient comme nous. Il ont juste un QI plus élevé. Ils sont bien plus conscients que nous. Ils peuvent parfaitement s’intégrer n’importe où sur la planète, peu importe la langue, la religion, ou le niveau de vie du pays, dirons-nous. Ils n’ont donc pas besoin de beaucoup pour survivre ici. Ils peuvent vivre pauvres ou riches, ou comme quelqu’un de normal.
David Wilcock : Vous avez participé à une série de différents programmes de missions secrètes. Celui dont on a le plus parlé ces dix dernières années étaient ces autopsies.
Emery Smith : Oui.
David Wilcock : Avez-vous participé à d’autres programmes plus tard, lorsque vous saviez que ces aliens humains étaient ici sur terre ?
Emery Smith : Oui. Et en fait, certains de ces extraterrestres avec qui on travaillait dans le labo, et faisaient des dissections et tout ça, certains de ces corps extraterrestres humains entiers arrivaient, et ils étaient recouverts de coups, avec des hématomes sous-cutanés. Des coups reçus à l’arrière de la tête semblaient indiquer des tortures, parfois avec de nombreux os cassés. Et on ne… Je n’ai appris que plus tard que ces êtres venaient en fait d’une prison ou d’une cellule de quelque sorte, et étaient interrogés. Et, c’est probablement ce qui…
Vous savez, après ça ils les envoyaient sûrement car ce n’étaient plus que des corps. Je suppose donc, après avoir entendu votre témoignage, que c’est ce qu’on recevait, car habituellement, ils sont en bon état, sauf s’ils ont été abattus, par exemple. Et ceux-ci avaient été visiblement battus à mort.
Corey Goode : Oui. On peut en parler plus tard. Mais j’ai aussi reçu… A bord du vaisseau de recherches, j’ai reçu des spécimens qu’on transférait. Je peux expliquer comment, si ça peut aider.
Très souvent, les individus qui étaient interrogés mourraient simplement du stress ou du choc causé par le processus. C’était très perturbant. Mais ils étaient étiquetés et étudiés après.

Emery Smith : Exact. On a eu quelques uns qui étaient morts de faim. Je ne suis pas sûr du pourquoi, mais ils étaient définitivement… morts de faim.
Corey Goode : Oui. Ils ont des prisons pour eux, certaines, spécialement pour eux où ils les emmènent comme une prison conventionnelle. Là où ils doivent continuer à les interroger pour obtenir d’autres renseignements. Ou, ils les échangent ou les transfèrent.
Il y a peu de temps, j’ai eu droit à une visite détaillée du Centre d’Opérations Lunaire (LOC). Et il était relié à deux autres centres, le Centre d’Opération Lunaire qu’ils nomment LOC Alpha, sous terre, dans ces tunnels de lave, il y en a deux autres, les LOC Bravo et Charlie. Et le LOC Charlie a un centre de recherche qui est cryogénique. Et l’un de ces étages sert au stockage de certains de ces êtres qu’ils ont mis en état de stase.

Emery Smith : C’est vrai. Il y en a un énorme là où je travaillais, comme une grande cryomorgue, où on les garde par centaines, avant de les envoyer au labo. 



Il y a toujours assez de corps et de spécimens. Comme une quantité sans fin. Ils ne suivent pas, il y en a tellement, vous savez.., des centaines de salles où j’ai travaillé, où les gens travaillent. 





 



Un truc qui s’est passé une fois, on a reçu des corps. Ils avaient été complètement déchiquetés et brûlés. Et ils ont arrêté de faire ça.
Ils utilisaient l’armée, ses C130 géants et Hercules, pour transporter des corps dans d’autres labos dans le monde. Un s’est écrasé, et ils ont arrêté de le faire, car des civils sont arrivés sur les lieux et ont vu toutes ces créatures différentes et plusieurs…

Corey Goode : Vous vous souvenez d’où et de quand ?
Emery Smith : C’était en 1994. Et cette année là…
David Wilcock : Et où ?
Emery Smith : Je ne sais pas où, non. Aucune idée. Je connais juste l’histoire, car on nous a briefés dessus, et parce que les tissus changent là où ils brûlent. On doit faire attention à ne pas les prélever.
David Wilcock : Qu’ont-ils fait avec les témoins, après que les gens aient vu ça ? Ont-ils été supprimés ou…
Emery Smith : Oui, j’ai entendu qu’ils avaient reçu des menaces. Et je sais qu’un témoin a été supprimé sur les lieux.
David Wilcock : Car ils ne pouvaient pas y croire ? Ils allaient parler ou…
Emery Smith : Je crois que oui
Corey Goode : Ou il a vu quelque chose qu’il ne devait pas.
Emery Smith : Oui c’était plutôt ça. Et il fouinait et ramassait des trucs sur le site.
David Wilcock : Wow…
Emery Smith : Sur les lieux du crash, oui.
David Wilcock : Qu’utilisent-ils alors, au lieu du C-130 ?
Emery Smith : Tout se fait sous terre. Tout passe par le système des Maglev, et par d’autres qu’ils ont pour effectuer les transports.

David Wilcock : Pourriez-vous nous décrire ce centre de cryostockage, cette cryomorgue ?
Emery Smith : Oui, bien sûr, je l’ai vu plusieurs fois. C’est en fait… J’essaie de trouver un film qui pourrait vous aider à comprendre.
Pensez à cette scène dans Matrix, avec tous ces corps qui sont là, mais ils sont tous debout ou couchés. OK. la plupart sont debout et couchés, mais certains penchés à 45 degrés. Et si vous rentrez dans cette salle, de cinq étages de haut, OK. La température y est négative. Et chaque conteneur a une taille différente. Ils n’ont pas tous la même taille, à cause des différents spécimens. On a des conteneurs sous vide qui font cette taille ( Emery montre environ 30 cm avec ses mains), pour des petits morceaux de tissus. Le plus petit mesure 30 cm sur 15 cm. Il a un pavé numérique. Et il est fait de verre et d’un métal spécial. Et il est sous vide. Il a son propre système d’aspiration sous vide. Et il a aussi un système de gaz, car certains échantillons doivent être stockés dans des gaz différents, pour conserver les tissus, pas dans la glace et…
Corey Goode : Je vais vous interrompre…
Emery Smith : Bien sûr

Corey Goode : Sur le vaisseau de recherche, quand ils amenaient des spécimens, ils les reconditionnaient. Ils arrivaient dans…, particulièrement les petits échantillons… ils arrivaient dans une sorte de petite boîte de métal qui avait une sorte de verre au dessus. Les échantillons paraissaient lyophilisés mais étaient en fait en stase. Voilà comment les aliens nous les envoyaient. Puis les techniciens les prenaient éteignaient l’appareil d’une façon et l’ouvraient. Il était sous vide et le retiraient. Et ils le mettaient alors dans une autre boîte en métal, sous vide, qui était placée dans un sac comme pour des matières dangereuses , qui était scellé en haut.
Emery Smith : Oui, c’est bien ça. J’ai vu les boîtes carrées en métal avant. 



 


 


Corey Goode : Et le spécimen, il a l’air lyophilisé.
Emery Smith : Oui.
Corey Goode : Mais quand ils l’éteignent, il redevenait humide.
Emery Smith : Tout à fait.

David Wilcock : Donc on a parlé de votre programme "intercepter et interroger". C’est évidemment tout un univers dont aucun de nous n’avait connaissance. Quels types de prisons ont-ils, si ces êtres s’introduisent dans notre système solaire ? Comment gèrent-ils ça ?
Corey Goode : Lors de l’interrogatoire, s’ils coopèrent et s’ils disent : "je suis ici, j’ai une petite équipe d’appui cachée près de Jupiter, par exemple, contactez-les et vérifiez…" Et bien souvent, on les remettait à leur groupe d’appui, genre en les réprimandant, en disant : "Voici le processus pour entrer légalement", je dirais.
Pour ceux qu’ils voulaient continuer à interroger, ils les mettaient en prison sans état de stase, juste comme dans une prison normale. Et certaines prisons étaient des navettes. Certaines prisons étaient en fait des astéroïdes qu’on avait exploités. Puis on est allés dessus et on a créé des cryoprisons partielles, mais principalement des prisons normales. Ils maintiennent ces êtres sous les verrous de plusieurs manières.

David Wilcock : Quel pourcentage de ces violations mène à cet avertissement amical, comparé à une vraie incarcération ?
Corey Goode : C’est vraiment dur à dire. Je n’ai pas vraiment découvert ce qui leur arrivait avant un moment. Ces informations étaient compartimentées. Mais les discussions qu’on avait quand on était pas de service, indiquaient que c’était ça se passait. Je n’ai donc pas de chiffres, quand à qui était mis au fer et où.
David Wilcock : Emery, quand vous étiez dans ces programmes, avez-vous rencontré ce qui semblait être un extraterrestre biologique ?
Emery Smith : Oui.
David Wilcock : Pouvez-vous décrire… Leur avez-vous déjà parlé ? Avez-vous pu savoir s’ils étaient ici officiellement, ce qu’ils faisaient ici ?
Emery Smith : Oui, ils travaillaient en collaboration avec… Des extraterrestres se sont portés volontaires. Ils étaient capturés, puis s’offraient pour travailler et nous aider. Ou d’autres sont en fait venus ici de leur plein gré et avaient un type d’autorisation pour être dans ces labos, pour travailler avec les médecins sur différents aspects biologiques de la régénération tissulaire, de l’hybridation et du clonage.
Corey Goode : Oui c’est ça. Ils en ont forcés beaucoup à prendre des postes scientifiques.
Emery Smith : C’était : "tu meurs ou tu travailles ici". Et ils les traitent très bien d’après ce que je sais. J’ai entendu beaucoup d’histoires. Même dans mon équipe, je sais qu’un médecin était un extraterrestre humain, et il parlait, et il sentait comme nous, Aucune différence…
Corey Goode : Après avoir mangé nos aliments pendant un temps.
Emery Smith : Exact.

Corey Goode : S’ils ne le font pas, ils sentent différemment.
Emery Smith : Exact. Tout à fait.
On avait aussi d’autres types d’extraterrestres, qui étaient présents et que plus tard, selon mon expérience, j’ai vu dans les réunions et tout. Mais ils n’étaient pas sur mon projet. 




 

Corey Goode : Quand vous étiez avec eux, y avait-il des trucs sociaux bizarres ?
Emery Smith : Oui.
Corey Goode : Pouvez-vous en décrire ?
Emery Smith : Oui. Ils font très attention à ce qu’ils disent, car beaucoup apprennent toujours nos petites idiosyncrasies, disons.
Corey Goode : L’anglais particulièrement
Emery Smith : C’est juste. Il n’est pas toujours parfait. Et beaucoup de… On voit qu’ils tentent vraiment de prononcer les mots comme quand des gens viennent aux USA d’autres pays, et qu’ils ne savent que 60 à 70 % de la langue. Ils disent qu’il peut y avoir un accent prononcé ou un truc comme ça. Et beaucoup, je crois, ont en fait des émotions comme nous. Et ils rient et peuvent être tristes, on peut blesser leurs sentiments, car ils sont très…, avec le temps, la majorité, mais pas tous. Certains se rebellent et tentent de s’échapper. Mais la majorité, en fait, après avoir été avec nous, ils ont eu de la pitié pour nous. Et ils veulent aider. Et rester. Je crois vraiment… Ils ont tant de compassion. Ils ont dix fois plus de compassion. Et j’ai vu tant d’altruisme de la part de beaucoup de ces êtres, spécialement quand les choses… Parfois les choses se passent mal dans les labos, et eux, ils sont là… Ils ne sont pas louches… je veux dire. Ils se préoccupent vraiment. Oui, c’était très interressant.
David Wilcock : Ont-ils un sens de l’humour ? Seraient-ils…
Emery Smith : Absolument. L’humour est très important pour eux. Et…
Corey Goode : Ils adorent notre musique.
Emery Smith : Oui. Ils adorent les lumières. Notre musique. Tout ce qui a trait avec les sens, ils apprécient vraiment ça.
Corey Goode : Certains aiment parier, à cause de cette adrénaline.
Emery Smith : Exact, et ils apprennent aussi nos mauvaises habitudes comme pour la nourriture et comme vous dites, les paris et ces choses excitantes qui peuvent nous occuper. Ils ne sont pas invincibles, car ils appartiennent aussi à notre dimension. Ils sont donc ici juste comme nous. Mais ils sont juste… bien plus conscients et très…. Leur QI crève le plafond. Et si vous en avez un qui parle très bien, vous ne saurez sûrement pas qu’il est alien, en fait… (rires)

David Wilcock : On va me demander de vous poser cette question : L’un de vous pense-t-il qu’il y a des gens à des postes très publics, qui sont en fait des extraterrestres humains ?
Corey Goode : On m’a dit, quand j’étais dans ce programme, qu’ils sont très limités quand à leurs moyen de participer dans cette société. Ils peuvent… Tout doit être pré-approuvé. Ils peuvent travailler dans nos entreprises. Mais ils ne peuvent occuper des postes de pouvoirs. Ça vaut pour ceux qui viennent ici, peu importe à quel sujet.
Emery Smith : Absolument. Ils ne sont pas autorisés à occuper des postes d’influence. Je le saurais. En dehors des affaires. Je vous dis, je le saurais là, si quelqu’un de pouvoir était un alien. Et ils ne nous le font pas. Peut-être qu’à l’avenir, ce sera le cas. S’ils doivent sauver la planète, et nous… Mais pour le moment, il n’y a rien de semblable. Et la corruption dans le monde, le montre bien. Et..; vraiment. Ils ont des règles spécifiques, comme le dit Corey, les empêchant de faire certaines choses ici.
David Wilcock : Il y a sept milliards d’individus sur terre, qui sont des humains terrestres. Et, Corey, vous avez décrit la colonisation de notre système solaire qui semble bien plus vaste que la simple population de la terre. Pouvez-vous évaluer combien de personnes vivent dans notre système solaire, en prenant "personnes" au sens large ?
Corey Goode : Des millions !
David Wilcock : On est déjà des milliards sur terre. Y a -ils des millions d’autres "gens" dans notre système solaire ?
Corey Goode : Il y a des millions des nôtres, qui vivent dans le système solaire.
David Wilcock : D’accord.
Corey Goode : Pour ce qui est des non-terrestres, c’est un plus grand nombre.
David Wilcock : Y a-t-il une raison pourquoi l’humanité terrestre est en charge de qui entre et sort de notre système solaire, comparé à d’autres groupes qui colonisent déjà ici ?
Corey Goode : Pendant un temps, ça s’est passé comme ça. Ces différents groupes « généticiens » contrôlaient tout ça. Après avoir développé la capacité à voyager interstellairement, et avec l’armée qu’on a dans l’espace, on a commencé à contrôler notre propre système solaire.
David Wilcock : Et les autres groupes nous ont laissé faire ?

Corey Goode : Oui. Beaucoup n’avaient pas le choix, car on avaient maintenant leur technologie, ou une plus grande, qu’on a reçu lors de ces échanges. On échangeait des gens et du matériel génétique, dans ce trafic d’esclaves galactiques. C’est énorme… le négoce est très important.
Pendant un temps on a eu des problèmes quand on développait ces routes commerciales dans les 52 amas stellaires locaux, car il y avait déjà des routes commerciales bien établies. Et on interférait avec. Ça a été un processus d’apprentissage important. Maintenant on en est à… Avant on devait envoyer toute une flotte pour amener des êtres ou des projectiles à un avant-poste. Maintenant ils utilisent le type de navettes que j’avais utilisé, en forme de cigare. Tout est automatisé. Ils volent de système stellaire en système stellaire. Et ils expulsent ces conteneurs et les laissent flotter. Ils partent vers les système stellaire suivant pour la livraison suivante. Ils ne doivent pas s’inquiéter qu’un groupe différent arrive et prenne leurs affaires. C’est maintenant… Tout est bien établi maintenant.

David Wilcock : Corey, vous avez mentionné avoir de nouvelles infos sur des êtres aquatiques dans le Pacifique. Pouvez-vous nous en parler ?
Corey Goode : Oui, j’ai des nouvelles infos. Mais je les avais quand j’étais dans le programme des interrogatoires. La Navy avait découvert accidentellement, une base extraterrestre sous l’océan Pacifique, qu’ils ne connaissaient pas et qui n’était pas approuvée. L’autre groupe non-terrestre avec qui ils communiquaient ont dit qu’elle n’était pas approuvée.
Donc, les renseignements de la Navy ont organisé une opération d’entrainement au dessus de la base, où ils lâchaient des grenades sous-marines et d’autres armes perforantes dans l’océan, et ont, en gros, détruit cette base. Et les gens, comme ils lâchaient ces munitions dans l’océan, des vaisseaux sont sortis. Ils voyaient toute cette activité. Des navettes partaient, évacuaient.
Des semaines plus tard, le programme a envoyé des sous-marins électromagnétiques en repérage dans la base. Et là, il y avait des douzaines d’êtres encore en vie. Ils ont fini par les emmener pour les interroger. Et oui, ils étaient aquatiques.

Emery Smith : Comment étaient-ils ?
Corey Goode : Et bien.
Emery Smith : A quoi ressemblaient-ils ?
Corey Goode : Ils étaient en fait plutôt petits. Ils les maintenaient ensemble dans cette grande cuve verticales. Puis ils utilisaient les hameçons, comme pour les parties de pêche, pour les atteindre et les attraper et les sortir brutalement, et les déplacer dans cette autre cuve qui était reliée à des câbles et qui avaient une bague de métal autour, collée au verre, avec du silicone ou un truc comme ça. Et, ces êtres, ils avaient une sorte de grand lobe devant leur tête, et c’était visiblement comme ça qu’ils communiquaient. Au vu de la taille de leur mâchoire, on pouvait dire que visiblement, ils ne communiquaient pas oralement comme nous. Plutôt par…
Emery Smith : Echolocation.
Corey Goode : Oui. De façon similaire aux dauphins. Ils ont donc trouvé un moyen de communiquer avec eux. On ne communiquait pas avec eux. C’est dur de le faire. Leurs points de références sont totalement différents des nôtres. Mais ils stressaient ces êtres, en changeant la température de l’eau, avec des produits chimiques, ce genre de choses, pour stresser ces êtres, quand ils les interrogeaient.
David Wilcock : Emery, avez-vous vu souvent des êtres de type aquatique, quand vous étiez dans le programme des autopsies ?
Emery Smith : J’ai vu environ deux cent êtres aquatiques, c’est à dire… ou des échantillons aquatiques ou des êtres aquatiques. Et il a raison. Ils ont un type de corps complètement différent et un autre type de biologie cellulaire. C’est très différent, vous savez. Juste comme, entre nous et les dauphins et les poissons.
David Wilcock : Avaient-ils plus de cartilages et d’os au niveau de leur squelette ?
Emery Smith : Bonne question. Tout à fait. Beaucoup étaient incapables de marcher sur la terre ferme. Mais d’autres, si. Certains avaient des os. Et beaucoup avaient un type de corps très cartilagineux, où ils n’avaient pas… Ce qui leur donnait une forme était cette matrice de cartilage entremêlée, avec une masse musculaire incroyable, et une définition musculaire fantastique.
Un de ceux que j’ai examiné avait le corps d’un humain. 




Il avait des nageoires, le long de son corps, vers l’extérieur, et les mains et les pieds un peu palmés, et il mesurait environ 1m80.


 

J’en ai vu de très petits, comme il a vu. Mais la taille importe peu dans l’univers. C’est ce que je peux dire.
Corey Goode : Des navettes qui se sont écrasé avaient cette taille (Corey montre environ 40 à 50 cm avec ses mains).
Emery Smith : Oui !
Corey Goode : Elles étaient habitées.

Emery Smith : Oui. Les êtres peuvent être très petits. On devait parfois utiliser ces microscopes neurologiques géants pour prélever des échantillons, car ils mesuraient seulement sept centimètres de haut.
David Wilcock : "Microscope neurologique" voulant dire que vous aviez une connexion avec dans votre esprit ?
Emery Smith : Non, désolé.. Juste un microscope normal qu’ils utilisent en neurochirurgie, pour le cerveau.
David Wilcock : OK.
Emery Smith : Avec un grossissement. Il a son propre fauteuil où s’asseoir pour réaliser ces tout petits mouvements. C’est vraiment très dynamique. Mais…

David Wilcock : L’humanoïde d’Atacama que vous avez disséqué à Sirius, ne mesure que 15 centimètres.
Emery Smith : En fait, 13 centimètres. 




David Wilcock : Comment est-ce comparé aux plus petits que vous avez vus ?
Emery Smith : Le plus petit que j’ai opéré mesurait 7 centimètres.


 

David Wilcock : Vraiment ?
Emery Smith : Oui. Tout le corps. Et la tête était trois fois…
David Wilcock : Adulte
Emery Smith : … trois fois plus grande. Elle le sont toujours, curieusement. Probablement pour le cerveau ou d’autres trucs qu’ils ont de spécial. Comme ce grand truc des êtres aquatiques, sur le front, pour l’echolocation et la communication. On en voit beaucoup de ces bosses géantes et tout ça. Elle sont faites de calcium. Et elles ont des formes très bizarres. C’est très similaire aux dauphins et aux baleines, comme vous dites, Corey.

David Wilcock : Corey, il y a ces différents êtres entrant dans notre système solaire. Certains y sont autorisés. Mais d’autres pas. Vous n’avez pas vraiment parlé avant, du programme "intercepter et interroger". Pourriez-vous nous décrire certains êtres que vous avez vu dans ce programme ? Donnez-nous un exemple.
Corey Goode : La plupart étaient des humains. Ils semblaient humains, plusieurs type d’humains. Environ 10 %, peut-être 15 %, étaient du type que vous avez décrit comme des aliens à l’aspect très étrange ayant évolué dans un environnement très différent. Donc, on avait des insectoïdes. Il y avait différents types d’être reptiliens qu’on atout de suite remis aux Dracos. Les insectoïdes, il y avait un certain type d’insectoïdes, un certain groupe qu’on leur remettait toujours.
J’ai décrit celui qui avait une tête bizarre d’hippocampe, et un corps segmenté d’insectoïde. Il existe tout un nombre d’amphibiens différents. J’ai aussi décrit l’être félin que j’ai vu. Et c’est en fait plus tard, quand j’étais… sur le vaisseau de recherche.
Pour certains de ces êtres, il y a un mandat "mort ou vif", car ils veulent juste des renseignements. L’un d’eux était de type félin qui pouvait se télé-transporter n’importe où, où il voulait. Et, en gros, il devait penser là où, il voulait aller, changer ses vibrations pour celles du lieu de destination, et il y arrivait. C’était une espèce vraiment très évoluée que ce groupe militaire voulait attraper. Apparemment, ils ont mis en place une sorte de… , comme dans le film Jumper, une sorte de réseau électrique et quand il surgissait pour avoir une réunion avec quelqu’un, qu’il voyait régulièrement, ils pouvaient l’attraper grâce à ce filet. Et en fait, il l’électrocutait à mort. Et on a vu le corps, quand il était transporté. Et, il était très grand. C’est dur à dire, vu comme ils le portaient. Il était de couleur lavande et avait les marques du filet partout.. La pointe de ses oreilles était brûlée presque entièrement. Mais le plus bizarre, c’est que, et même les sociopathes présents, tout le monde était bouleversé. Les larmes ont coulé. On se sentait tellement triste pour cet être. Et il y avait là des gens sans émotions littéralement, qui pleuraient.

David Wilcock : Avez-vous déjà vu des humanoïdes de type félin ? Ça vous dit quelque chose ?
Emery Smith : Oui, beaucoup d’êtres ressemblant à des chats.
David Wilcock : C’était commun ?
Emery Smith : C’est commun, oui. Et ils sont très intelligents. Et certains sont transdimentionnels, ils ont donc plusieurs capacités. Et certains, en fait, comme une anguille électrique, ont de l’électricité en eux. Ils mettent toujours des plaque d’ancrage sur ces trucs, avant de les opérer, pour s’assurer qu’on a pas d’électricité statique ou qu’ils n’aient plus d’électricité. Vous voyez.
Vous savez, je n’aime pas travailler sur eux, car beaucoup de gens, même avec les plaques ont été électrocutés, certains techniciens et médecins, Mais oui, ils sont très courants. Il y a différents types d’espèces, dans tout l’univers. Et… Je n’ai pas… Je ne peux me rappeler d’aucun qui était mauvais, lors des briefings, quand on en a parfois. C’est donc… un bon signe qu’ils aient des supers pouvoirs et ne sont pas agressifs (rires)…

Corey Goode : Cet être, je m’en souviens, rendait visite à un individu en particulier pour donner des conseils spirituels et des connaissances. L’individu qu’il visitait a été tué lors de la capture.
Emery Smith : Intéressant. Wow.
Corey Goode : Ils obtenaient des informations d’une nature spirituelle de cet être qui lui apparaissait parfois. Et certaines de leurs technologies peuvent avertir quand quelque chose se télétransporte.
Emery Smith : D’accord.
Corey Goode : C’est comme si il y avait des perturbations dans le réseau et qu’ils pouvaient le triangulariser.
Emery Smith : Ok.

David Wilcock : On a parlé du système carcéral. C’est important ici. Et pour le temps qu’il nous reste, laissez-moi vous poser une question : Toute une série de films de science-fiction que la Cabale pourrait avoir inspiré, qui semble parler de l’idée de prisons où les gens sont mis dans une sorte d’état de biostase. On a donc une question spécifique du public, car on aime répondre à vos questions.
"Que savez-vous des systèmes carcéraux américains sur Terre, développant une technologie de détention en Biostase?" L’un de vous a-t-il une information?

Emery Smith : Je suis définitivement au courant. Ils le font. C’est un moyen… peu coûteux d’écarter les gens qui ont fait de sales trucs.
Corey Goode : Ils le feraient avec des opérateurs spéciaux, hors de contrôle, qui sont trop dangereux pour être relâchés dans la civilisation. Mais je n’ai rien entendu, en ce qui concerne le système carcéral général. Mais ils ont sûrement des plans.
Emery Smith : Je m’en doute. Ouais.
David Wilcock : Selon la règle de droit, je crois qu’il y aurait de grandes objections éthiques. Ça ne pourrait pas être autorisé par un gouvernement légitimement élu.
Emery Smith : Tout leur plan est comme ça, avec des cellules de biostase, comme ils disent. Sans parler de planètes, pas aussi grandes que la Terre, mais plutôt grandes. Corey est probablement au courant. C’est là qu’ils les retiennent.
David Wilcock : J’ai entendu l’initié des programmes spatiaux, Jacob, décrire des planètes prisons, des planètes dont la fonction principale était d’emprisonner les gens et les empêcher de partir.
Corey Goode : Un peu comme ici, on dirait.
Emery Smith : Oui, c’est très similaire.
David Wilcock : Jacob a bien précisé qu’on ne voudrait pas du tout se retrouver sur une de ces planètes, que c’est une existence misérable, si vous vous y retrouvez.
Emery Smith : Celles dont je parle sont de biostase et de cryo. Ils restent donc dans un sommeil profond pendant des centaines de milliers d’années. 1.000 ans, 100 ans et bien plus, selon ce qu’ils ont fait.
David Wilcock : Vous avez tous les deux fait un grand travail ici. Une discussion très instructive. C’était une Divulgation Cosmique, avec Emery Smith, Corey Goode et votre hôte, David Wilcock. Merci de nous suivre.


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